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Les sirtuines

Les sirtuines

Parmis les sept sirtuines, la Sirtuine1 est une protéine qui possède des propriétés enzymatiques d’histone-désacétylases dont le coenzyme est le NAD, et qui fait partie d’une famille des SIR (Silent Mating Information Regulator) présente dans les cellules de toutes espèces et dont l’une des propriétés chez l’homme (le SIRT1), inhibe le gène p53, le gène p53 est appelé gène suppresseur de tumeur, qui est un gène qui contrôle la croissance et la division des cellules. Le gène TP53 envoie aussi des signaux à d’autres gènes pour aider à réparer l’ADN endommagé. Si l’ADN endommagé ne peut pas être réparé, le gène TP53 empêche la cellule de se diviser et lui ordonne de mourir. Les sirtuines sont stimulées par de nombreux polyphénols dont le plus efficace actuellement connu est le resvératrol, (tri-hydroxy-stilbène).

Les sources d’apport de SIRT1

Les produits d’apport intéressant en matière de SIRT1, sont les fruit ; comme les dattes, les myrtilles et le fraises ; les plantes aromatique comme le persil ; Les épices dont e le curcuma, la cannelle et les capres. Les oléagineux constituent également une source de sirtuines comme les noix. Autres produits, tel que, l’huile d’olive, le thé vert, le cacao, le vin rouge et le chocolat noir.

Rôle de SIRT1

Les sirtuines sont des désacétylases NAD-dépendantes, impliquées dans beaucoup de fonctions biologiques du corps humain, comme suit : la suppression transcriptionnelle, la survie cellulaire, la mort cellulaire, la suppression de tumeur, la cardio-protection, la maladie d’Alzheimer, la réactivité de la mémoire, le rythme circadien, les dommages de l’ADN, l’inflammation, et bien plus…

Découverte scientifique

Le chromosome 17 est un « point chaud » comportant plusieurs oncogènes et gènes suppresseurs de tumeurs, dont le gène p53, situé en 17p13.1, qui joue un rôle clé dans la coordination de la réponse  cellulaire face à diverses conditions de stress (activation d’oncogènes, hypoxie, dommages à l’ADN). C’est le gène le plus fréquemment muté (50 %) dans les cancers humains non héréditaires.

Sources et références