Carnet De Voyage

Pyrénées Atlantiques

Partir en voyage dans les Pyrénées est toujours une aventure, entre l’océan Atlantique, les montagnes et la frontière Espagnole. Cette région est riche en patrimoine, culturellement, le département à deux régions historiques. Le Béarn, avec la ville de Pau comme département et le Basque, avec Bayonne comme ville Principale. Hendaye, une petite ville de la côte Basque situé à 40 km de Bayonne. Une ville au porte de l’Espagne, sympathique avec ses couleurs traditionnelles aux volets des fenêtres rouges et les façades à la teinte blanche, dans un environnement naturel entre l’océan bleu azur et les montagnes forestières à l’émeraude. Nous avons eu l’occasion de séjourner durant 4 nuits, dans une suite très spacieuse et de qualité à l’hôtel Uhainac, situé face à la plage de l’ Océan Atlantique. Les gérants, et le personnel offrent des services de qualité intrinsèque et je trouve ça formidable.

Un beau matin, pendant le petit déjeuner au jardin face à la mer. La patronne de l’hôtel nous a rejoint pour échanger, afin de s’assurer du déroulé et la qualité de nôtres séjour. C’est une dame agréable qui a le sens de l’humour et le dialogue. Pendant l’échange, nous nous sommes familiarisés en se racontants des histoires de la vie courante avec des anecdotes. Madame voulait savoir si on se plaisait sur Hendaye et la suite de nôtres parcours. Nous lui avons fait part de notre projet Rando & Découverte dans les Pyrénées atlantique. Saint Jean Pied de Port sera une deuxième étape, ensuite passer par Larrau, un peu plus loins vers Sainte Engrâce, puis aux sites de Cauterets, pont d’Espagne et se rendre au lac de Gaube et le massif de vignemale. Découvrir également la vallée d’Ossau, pour un parcours de rando aux lacs d’Ayous et voir le pic du Midi d’Ossau avec quelques nuits en bivouac dans les altitudes. Et clôturer notre programme Rando & Découverte au cirque de gavarnie, si tout va bien.

Madame s’est montré intéressée par le sujet de la rando et les balades, elle nous a toute de suite fait savoir qu’elle est amateure des balades du dimanche et les marches rando. Saint Jean Pied de Port, sera une étape importante pour vous en matière de difficulté nous dit-elle, je fréquente régulièrement cet endroit avec mon ancienne amie qui est guide de profession, nous rajoute-t-elle. Pendant notre échange, nous avons évoqué pleins de petites choses agréables…………….Je n’ai hésité à lui dire que son établissement est bien structuré, bien géré et que le fonctionnement est unique et intrinsèque, lui ajoute-ai-je. C’est un établissement familiale, on met nos idées à l’épreuve avec nos salariés et si ne marche pas on remplace pour améliorer notre service me répond-t-elle………….

Cet Hôtel est proximité de L’observatoire scientifique Abbadia, des centres d’intérêt, des plages, du point de départ du GR10 et de la gare. Les restaurants  proposent des menus variés et différents en terme  de qualité et de fraicheur. Les crudités, et les petits plats locaux sont biens préparés. Nous avons apprécié les menus, comme les poissons de la crié grillés garnis, Cassolette de Chipirons et d’autres. On garde de bon souvenir du restaurant «Brasserie de Paris», situé au rond point « Marché Plein Vent ». Le chef nous a fait exception de nous servir un diner au poissons frais au filet de merlu  garnit après 23 heures. Notre petite histoire a commencé par chercher un coin de restaurant qui répond à nos goût. Après un longue balade dans les quartiers de Hendaye. Suite à quelques hésitations on tombe devant la Brasserie de Paris, on s’installe en  terrasse pour un soir d’été en plein sud, c’est agréable. Une fois en place un serveur se présente a nous, après un court échange nous avons fait connaissance. Le serveur est un homme d’une cinquantaine d’année qui a atterrit à Hendaye depuis peu.  Monsieur vient de Belgique, c’est un amateur de Moto, qui a  dù passer par la Marne et la Champagne Ardenne pour se rendre en côte Atlantique Basque, me précise t-il. Dans des échanges partagés et mutuels,  nous avons  commandé deux apéro et plus tard on lui a demandé les cartes de menus. Très bien, Parfait. Le serveur reviens vers nous après un long moment. Ça va ? c’est intéressant pour vous?, nous demande t-il. Oui, très bien et parfait, lui réponds ai-je. Intéressés par vos menus, est ce qu’on peut commander deux plats ?.  C’est pour demain soir ou un autre jour ?, nous demande t-il. C’est pour ce soir. Le serveur avec un regard surpris. Désolé Monsieur Dame, c’est trop tard à cette heure-ci pour passer une commande auprès du chef, nous dit-il. On’a pas insister à cet heure tardive, car il est est 22 H 30. Après quelques hésitations, Le Serveur est parti demander, aussitôt revenue. Le chef  vous fait exception nous informe t-il. Nous avons salué le serveur et le chef du restaurant de leur courtoisie et de leur aimable geste. Nous avons été tellement content de cette surprise, car on est le 30 Juillet de l’année 2022 et notre fin de séjour arrive à terme, après cette soirée même. Avoir la chance de vivre une occasion agréable avant de quitter cet endroit, après un bonne soirée et prendre la route vers Saint Jean Pied de Port dès le lendemain matin. Cette occasion exceptionnelle nous a permis encore une fois de vivre un instant fort agréable, ponctuel et marqué par une spontanéité que nous n’avons pas attendues.

La Randonné sur les traces du GR10 est une Grande Traversé mythique de l’océan à la mer, c’est à dire de Hendaye à Banyuls, qui a vu défiler des générations de montagnards. Seriez-vous intéressez peut-être?,  ça tombe bien vous êtes au point de départ qui se trouve au centre ville, tout près de la rue principale qui donne sur le long de la plage. En effet, nous avons découvert les sentiers pour aller en balade matinales, sur le RG10 et les pistes longeants le littoral de la côte atlantique basque jusqu’à la ville d’IRUN en Espagne. En effectuant quotidiennement un parcours de 18 km de marche en balade et découverte, jusqu’à environ 4 heure de l’après midi. La rencontre de l’Océan et les Pyrénées, le site se caractérise par des grandes falaises, des criques et deux grands rochers « les Jumeaux ». ces deux rochers sont les témoins du recul de la côte. De vastes prairies, la lande atlantique, des bosquets sculptés par les vents offrent l’image d’un espace de nature contrastant avec les villes d’Hendaye, d’Irun et de Fontarabie que l’on aperçoit à proximité. 

Le Domaine d’Abbadia est marqué depuis le milieu du XIXe siècle par la figure d’Antoine d’Abbadie (1810-1897) qui lui a légué son nom. Il acquit une propriété de 415 hectares entre Hendaye et Saint Jean-de-Luz. Une Visite du château scientifique Abbadia, anciennement dédié à l’astronomie (étude des distances entre les étoiles) initialement détenu par Antoine d’Abbadie d’Arrast. Un château style néo-gothique, qui sur le point le plus élevé de la bande littorale, rappelle aussi son origine maternelle irlandaise.  dans un grand domaine de plusieurs hectares clôturé, donnant sur l’Atlantique. Antoine d’Abbadie d’Arrast, astronome et explorateur scientifique du XIXème siècle et également anthropologue, linguiste, membre, puis président de l’Académie des Sciences de Paris en 1892. Une visite guidée d’une heure à la rencontre d’Antoine d’Abbadie. Fils d’une mère Irlandaise et d’un père Français d’origine Basque. Sa demeure conçue par le célèbre architecte Eugène Viollet-Le-Duc. La découverte commence dans l’observatoire d’astronomie doté du matériel d’époque. Souvenirs et inspirations de ses voyages habillent les murs. On découvre des scènes de vie Ethiopienne, chambre de Jérusalem ou salon de type Arabe, des inscriptions en plusieurs langues un peu partout sur les murs, en Français, Anglais, Ethiopien, Juive, en langue Arabe et bien d’autres, Antoine d’Abbadie parlait plus de 11 langages. Le guide nous a fait savoir que Antoine d’Abbadi à fréquenté la famille Rasta en Ethiopie. Un salon décoré avec des objets mythiques  en leurs honneur au château. Antoine d’Abbadie a rencontré et  connue le poète, écrivain et voyageur Arthur Rimbaud en Ethiopie durant leurs voyages respectifs…. La maison est meublée, décorée et restaurée telle qu’elle l’était à sa construction.

Un parcours de 3 circuits différents  au sein du site du domaine de l’observatoire Abbadia. Nous avons commencé par atteindre les criques à proximité de la route D912 en direction de Saintt Jean de Luz, en passant à côté d’une villa  construite dans le domaine Abbadia, au bord du tittoral. Il s’agissait de la villa Haiçabia ou Haizabia en langage Basque, qui veut dire Rocher. Cette grande demeure se trouve dans une baie qui porte son Nom. La particularité de cet endroit est de se trouver devant une grande et étonnante piscine à l’eau de la mer. Construite par le même architecte de la Villa, pour la  princesse Faucigny entre les années 1920 à 1930. Cette  luxueuse villa ayant vocation d’être un hôtel restaurant de luxe et de classe mondiale. En effet, dans les années 1920-1930, les mondains et les autres têtes couronnées du monde entier venaient faire la fête sur la côte Basque. Transformée en orphelinat et devenue aujourd’hui un centre de vacances. C’était la marraie basse à Haizabia, après deux heures environs dans ce coins, on a longé  la côte du littorale en passant par le chemin d’Haiçabia, puis  la maison de la corniche, pour arriver au dessus de la Baie de Loia, avec une vue bien dégagée sur l’atlantique. La promenade est idéal en ce lieu situé en hauteur, verdoyant et bien aéré, tantôt traversé par des ruisseaux, un sentier ombragé bien entretenu, des petits ponts et des marches en bois sur plusieurs centaines de mètres qui mènent jusqu’à la pointe de Sainte Anne. Dans ce petit coin de paradis, vous aurez le regard occupé sur les rochers, les Deux Jumeaux et la vue magnifique sur l’océan. Continuant le chemin au milieu de la flore sauvage jusqu’au Bunker, à partir duquel on a le regard projeté sur Hendaye, l’Espagne et les chaines des Pyrénées. Cette balade près des bords des falaises, offrant à vous des vues bien dégagées et exceptionnelles sur le grand large atlantique. Plusieurs circuits sont possibles dans le site et accessibles à tous et sans difficulté. Pour clôturer cette balade nous avons empreinté  la plage de sable fin, sur plusieurs centaines de mètres, pour une pause déjeuner à la cafétéria de la  plage en face de  l’hôtel. Nous voilà au point de retour,  un circuit de randonnée en images…… 

Après avoir profiter de notre première semaine de vacances chargés d’émotions et de souvenirs, balades en ville de Hendaye et ses alentours près de l’océan et ses plages, exercices de randonnées et marche à pied, découvertes culturelles et historiques. Comme c’été prévu, nous avons Privilégié l’exercice de la marche et la randonnée pour la découverte des montagnes des Pyrénées avec des sac à dos chargés. L’objectif de notre projet Rando et Découverte, de Hendaye comme point de départ, jusqu’à Luz Saint Sauveur. Un trajet de plus de 270 kilomètres, ponctué en différentes étapes de balades et de trecks, que nous allons vous présenter respectivement au fur et à mesure. De Hendaye, en passant par saint jean pied de port, en Basque (Donibane Garazi) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. Ville située au confluent de la Nive et du Laurhibar. Après avoir réservé une chambre pour une nuit à l’hôtel des Remparts. L’ Établissement fait Hôtel-Bar-Restaurant et les gérants sont accueillants et agréables. À la réception, au comptoir, nous avons étés accueillis par le gérant pour effectuer l’acquittement des frais, les tarifs associés et prendre les clés. La Cogérante nous demande de la suivre à l’étage, la suite N° 11? dit-elle au monsieur, on s’est arrêté un instant, il nous regarde avec un aire souriant et confiant. Non la chambre N° 12 ! répond t-il.  Elle est très bien, nous-ajoute t-il. La dame nous à accompagné jusqu’à la chambre, nous a ouvert la porte et la fenêtre, hisser les rideau, passer les clés en nous souhaitant un agréable séjour. Parfait, tout va bien. Une journée bien ensoleillé, nous quittons l’hôtel pour aller au centre de la ville. Il est 3 heurs de l’après midi, un déjeuner à la terrasse du Bar Restaurant au bord de la Nive. Un tour pèlerin en cette petite ville magnifique et aux alentours historiques et médiévaux marquée par une puissance jadis. Ville accueillante, typiquement touristique et historiquement connectée à tous les sentiers de France, Saint jean pied de port étant le point relais du reste du monde jusqu’à Saint Jacques de Compostelle en Espagne. Nous avons bien appréciés cette deuxième étape. Une restauration marqué par le cachet savoureux de l’assiette de type local aux saveurs basque et proposant différents menus à la carte à découvrir. J’ai bien aimé les poissons de la crié grillé, les salades composées, les cassolettes de Chipirons et les poêlées de Chipirons grillés à l’ail et au persil. Le chipirons est un plat populaire et traditionnel basque aux petits calamars. Les calamars sont abondants sur la côte basque. Les pêcheurs sont des retraités basques, tôt le matin s’en vont en mer avec leurs barque, fil et de l’hameçon pour obtenir la meilleur prise. Les produits de leur pêche dont les chipirons sont vendus aux restaurants du village dès leur retour. On les appelle « Los txipirones de anzuelos ». Pour ce plat « Txipirons » Le chipirons se cuisine frit, à la plancha ou en sauce.

La traversée de la ville par la Nive lui donne un cachet sublime de jour comme de nuit, vous serez tout près, si vous réservez une table à la terrasse du  Restaurant «Le Ttipia». Certes un jour et une nuit à cet endroit du pays n’est suffisant pour découvrir les sentiers historiques et faire des randonnées. iL sera prévue, dans nos prochaines vacances, pour palier les jours de balades rando dans les hautes plaines, faire 2 ou 3 Bivouac dans la région,  découvrir les sites culturels, archéologique et les grottes géologiques naturelles également.  

En quittant la ville, pour aller découvrir les hautes montagnes emblématiques d’Ossau Iraty et son environnement Pastorale. Une journée rando et découverte de la passerelle d’Holzarte. La passerelle d’Holzarte surplombe les gorges d’Olhadubi à 180 mètres. C’est un site naturel le plus spectaculaire et le plus fréquenté des Pyrénées occidentales. L’accès se fait à partir de l’auberge de Logibar situé à 2 kilomètres environ avant le village. Une marche d’une heure en sous-bois, ou bien faire un détour des gorges de 4 heures pour atteindre la passerelle. Il s’agit d’une randonnée difficile, des bonnes chaussures de marche seront nécessaires. Finir la demie journée à Sainte Engrace et voir les vestiges historiques. Le village de Sainte-Engrâce doit son nom à une jeune portugaise nommée Gratie. « Dans les années 300, sur le chemin de Gaule la demoiselle venue pour épouser un noble chrétien, des soldats romains l’arrêtèrent à mort du fait qu’elle refusa de renoncer à sa religion chrétienne ».

Le village de Sainte-Engrâce offre un éventail de plusieurs randonnées, le GR10 également avec des niveaux différents à partir de l’église. pour faire du bivouac il faut prendre de l’avance avant la nuit, monter vers La Pierre Saint Martin pour 10 km de marche en quatre heures de temps. C’est un chemin de randonnée classé difficile et son altitude est de 1777 Malt. Trouver un endroit avec un terrain plat à l’arrivé à proximité du bois de la forêt, y installer sa tente et allumé un feu en pleine nature. Pour faire l’étape en voiture, il faut prendre la Départementale D113, pour une distance de 20 km environ en une demie heure, La Pierre Saint Martin côté Français fait frontière avec La Piedra de Saint Martin du côté Espagnol.  La grotte de la Verna et son site naturel, situé Au cœur des montagnes calcaires de Haute-Soule et du Barétous entre les Pays-Basque et les Béarns. La grotte de la Verna est un site géologique d’exception, aux volumes hors du commun au cœur du gouffre de la Pierre Saint-Martin. La grotte de la Verna est la plus grande salle souterraine éclairée au monde et accessible à tous. Une nuit en Bivouac dans les alentours est important pour se rendre facilement et découvrir le site, soit par Sainte-Engrâce en passant par les gorges de Kakuetta soit par La Pierre Saint Martin. La suite de la découverte vers le parc national de L’Estau. Via les route sinueuses des hautes montagnes, la départementale D132 et la N134, le village est situé à 50 km en voiture de Sainte Engrace. À l’arrivé prendre sur la gauche pour traverser le pont du Gave d’Aspe et trouver une place de parking à droite du pont de Cebers. À partir de là, prendre la petite route de Etsdemorate, jusqu’à l’accès à la piste qui mène au chemin de la mature. Un chemin creusé dans le rocher de la vallée de 1200 mètres de long  encaissée du ruisseau, La Secoué, près de sa confluence avec le gave d’Aspe.

A mi parcours, ou presque, avant d’arriver à la ville de Larrau en passant  par Esterencuby, à quelques dizaines de kilomètres en route de montagne sinueuse, sur la Départementale D301. Nous avons préféré renoncer, car notre véhicule étant mal adapté pour atteindre les hauteurs. Nous en avons profité de marquer une pause casse croute et laisser reposer le véhicule à cet endroit largement spacieux en plein virage. Après une réflexion alternative nous avons  préféré aller à la rencontre des fermiers locaux. Nous empruntons les petites routes de compagne en voiture, jusqu’à ce qu’on arrive devant la cour d’une ferme. Une dame très sympathique nous a ouvert sa porte, avec laquelle nous avons pu échanger d’où le but de notre visite. Elle nous a raconter qu’elle a été enseignante à Paris dans le passé. Ensuite elle nous a présenté son fromage de sa fabrique issus des brebis noires. En fin elle nous a fait une dégustation. La Dame nous appris que ce fromage pourrait être conservé au congélateur, pour le consommer plus tard. Nous avons apprécié ce moment chaleureux. C’est un agréable souvenir. On a fini par s’approvisionner en quelques tommes de ce Fromage local, emblématique de cette région «Ossau-Iraty». Ce fromage au lait de brebis est un fromage de caractère dans la plus pure tradition basque, très aromatique, équilibré avec une texture onctueuse. Ce fromage de brebis Ossau-Iraty est affiné dans les caves sur des planches en bois.

De là, nous avons repris la route pour se rendre dans la région de la vallée d’Ossau, en passant par la ville d’ Oloran Sainte-Marie, en se rendant à l’office de tourisme de la ville  pour des conseils pratiques liés a la randonnée, les points de bivouacs et les conditions météorologiques de la région. L’office de tourisme de la ville est  accueillant et de bon conseil. A laide d’une  carte offerte par l’office, nous nous sommes dirigés vers le lac de Fabrèges, dans la commune de Laruns, dans la vallée d’ossau, en plein coeur du Parc National des Pyrénées du Béarn. C’est un site naturel privilégié des amateurs de randonnée et de pêche, irrigué par la gave de Brousset. Le lac est situé à 1241 mètre d’altitude et sa profondeur est de 54 m. Le site autour du lac est montagneux, habillé par une forêt très dense.  Un petit complexe de ski reste ouvert en été pour les promeneurs, les randonneurs et les amateurs de train de loisir de l’Artouste. Le lac est longé d’une grande plage de galets et de sables, les baignades, les activités aquatiques et pédalo. L’endroit est prisé par les camping-car et les campeurs, un Parc de plusieurs centaines de mètres sur la rive droite, avant d’arrivé au site du complexe. On se trouve dans un endroits calme, propre, en bas de la forêt, exposé en plein Sud-Ouest et traversé par des ruisseaux descendants de la montagne. L’eau est abondante, on peut même prendre un bain à l’eau claire au ruisseau en pleine nature. C’est à découvrir.

La montée au village d’Artouste se fait par téléphérique à partir de la station. Le petit village montagnard est le point de départ des l’excursions en Train. Vue que la journée se faisait un peu tard, nous avons préféré d’apprécier les alentours du site au tour du lac. Après une petite promenade au bord du lac, nous avons installé notre tente en bas de la montagne près de l’eau, une pause apéro et manger une salade composé. Il est 23 heures, on s’est couché au calme,  on entend parfois quelques cris des animaux de la forêt. Jusqu’au lendemain vers 7 heures du matin, une toilette au bord du lac à l’eau fraiche, rangement du paquetage, les sacs à dos dans le véhicule et laisser l’ endroit sans déchets. Un bon petit déjeuner à la cafétéria du complexe et reprendre la route vers le lac de Bious Artigues. La Départementale D934 une petite route montagneuse aux virages ascendants nous obligeant de s’arrêter pour laisser passer le véhicule venant du sens opposé. 

Une vue imprenable sur les montagnes. Des lacs, des plaines verdoyantes. Bienvenue dans la vallée d’Ossau. Située dans les Pyrénées Atlantiques, les lacs d’Ayous sont des endroits incontournables pour les randonneurs. L’arrivée en voiture par la ville de Laruns jusqu’au parking supérieur de Bious-Artigues, situé à 1422 mètres d’altitude est pris d’assaut dès le levé du jour. Les lève-tard devront se rabattre sur le parking inférieur et rallongeront leur plaisir d’une belle demi-heure de marche en zigzag pour atteindre la hauteur du barrage et le lac de Bious. Lors de la randonnée, un sac à dos bien équipé est nécessaire avec les accessoires de bivouac, les habits utiles, l’eau, la nourriture et une tente adéquate. Ne pas prendre plus qu’il n’en faut, sous peine de se retrouver avec un sac à dos surchargé et de rendre la randonnée difficile.

La balade commence par le sentier montant sur le versant sud. Très vite récompensé, car le décor s’ouvre sur le premier lac: le lac de Bious-Artigues et son barrage hydraulique impressionnant. Ce lac artificiel est la porte d’entrée du parc national des Pyrénées et offre un aperçu des paysages qui vous attendent. En toile de fond, le majestueux pic du Midi d’Ossau, surnommé par les locaux « Jean-Pierre », en hommage aux deux bergers protecteurs de la vallée. Suivre la piste vers le sud-ouest en empruntant le GR10 en traversant la gave de Bious. En longeant la rivière aux bords ombragés, jusqu’à ce qu’on arrive à un endroit en contre bas creusé par le torrent. Il est 12 Heures passées, on est resté un moment le temps d’une pose casse croûte et écouter la nature,  la fraicheur et le bruits des cascades du torrent génère en vous une relaxation apaisante.  Au bout de 3 quart d’heures nous avons repris notre chemin de campagne ascendant en plein forêt pour reprendre une petite route en pavé de roche de montagne qui emmène à la grande grille. C’est une grande porte qui vous dit et c’est écrit « Vous rentrez dans une zone pastorale ». le sentier en plein forêt, ombragée et accidenté laisse apparaitre des racines en mailles couvrant le sol grimpant, c’est intéressant et passionnant à la fois. Au cours de notre chemin nous avons croisé des promeneurs venant des hautes altitudes, allez y, courage, vous y êtes presque, nous disent-ils. Là haut sur la montagne, vous allez êtres bien car le paysage est magnifique, nous ajoutent-ils. A la sortie de la forêt noire on tombe sur un plateau en altitude avec deux cabanes sur la gauche. Un peu plus loin nous apercevons le premier lac, c’est le lac de Roumassot, situé à 1845 mètres d’altitude, c’est un grand bonheur pour les amateurs de lacs de montagnes. On a eu l’occasion de contempler faune et flore autour du lac tels que des chevaux en hautes plaines, des plantes sauvages verdoyantes et le bruit du ruisseau enchante le paysage.

Nous poursuivons le sentier en direction du nord pour la suite de la randonnée. Nous avons échangé avec un autre couple qui faisait demi tour depuis lac de Miey, ils voulaient atteindre lac gentau, mais ils ont renoncé car la journée faisait tard pour eux et ils manquaient d’équipement de bivouac, nous disait-ils. Bon courage et bonne rando ajoutaient-ils. Le poids du sac à dos et la montée en altitude se fait sentir sur les jambes et les épaules, mais le paysage est merveilleux et fait oublier la fatigue, le bruit des chutes d’eau issu des cascades, les chevaux en pleine nature, la vue en grand sur le pic d’Ossau, enfin Bref. Quelques prises de photos avant de poursuivre jusqu’au lac de MIey à 1914 mètres d’altitude, prendre la rive gauche à côté d’une belle cascade du ruisseau, l’arrivé au sommet de cet endroit est une grande étape. On a fait une petite pause de quelques minutes au bord, un regard en amont, un regard en arrière et là encore on a des sensations d’être dans un univers nouveau.

Puis, nous quittons ce lieu, pour se diriger vers le lac Gentau. Ce dernier fait partie des lacs d’Ayous, un ensemble de trois lacs avec le lac Roumassot, le lac du Miey et le lac Bersau, qui occupe la haute vallée d’Ossau plus précisément le dessus de la vallée du gave de Bious. Le lac Gentau se situe à 1947 mètres d’altitude avec une profondeur maximale de 20 mètres. Après quelques minutes de marche, nous avons atteint le lac Gentau du côté Est, là où le ruisseau prend sa racine pour se déverser au lac du bas. En plein air nous n’avons pas hésiter à poser nos sacs à dos, tremper les pieds et se soulager. Après une dizaine de minute on a repris par la rive droite jusqu’à  un endroit bien méritée. Le couché de soleil est à l’horizon en plein sud-ouest, une vue sublime sur le pic du midi d’Ossau, un rêve devenue réalité. on a trouvé facilement une place pour monter la tente et préparer un café. Le refuge d’Ayous est à proximité du lac Gentau, on a pas hésiter d’aller voir et acheter un rafraichissement. L’endroit est bien et très fréquenté, l’entré au refuge est sans chaussures, il est ouvert de juin à octobre. Ce refuge permet aux randonneurs de manger, de dormir ou de s’approvisionner en eau potable, ou d’une  boisson au bar. Faire connaissance avec les voisins de bivouac, échanger, trinquer ou écouter les joueurs de guitare. Un tour au bord du lac avant le coucher de soleil, sortir la casserole, chauffer l’eau, verser la poudre de légumes déshydratée, remuer pendant 2 minutes, laisser reposer pendant 4 minutes et la soupe est prête. Un bivouac le temps d’une soirée au tour d’un feu c’est merveilleux, mais il n’y a pas de bois dans le périmètre, il fallait préalablement ramasser quelques morceaux de bois en traversant la forêt noire. 

Nous Voilà dans un endroit merveilleux et content d’y passer la nuit. La tombée se fait vite dans les montagnes et en espérant ne pas subir une tempête pour en profiter au maximum. Il est 23 heures, une perturbation orageuse arrive avec une pluie abondante, une nuit au noir total, on entend des coups de tonnerres et des éclats de lumières très vives au dessus du lac et sur le pic du midi d’Ossau. L’orage à cessé au bout d’une heure ou plus. On a dormis sous les crépitements de la pluie dans la tente. Après une nuit reposante, c’est merveilleux de se réveiller face à un autre jour en pleine nature. Le soleil levant sur le pic du midi d’Ossau occupe tout  notre esprit, un café au bord du lac et une prise photo de ce paysage inhabituel. Une contemplation sur l’horizon avant de reprendre la suite du parcours. Un endroit propre et sans déchets avant de quitter pour une nature propre et une zone pastorale préservé. Poursuivre encore plus haut vers le lac Bersau, en passant par le refuge d’Ayous pour s’approvisionner en eau

En empruntant le sentier en lacets un peu raide, mais le bruit des eaux des ruisseaux motive la persévérance. En chemin, on découvre le col d’Ayous à 2200 mètres alt, point culminant de la randonnée sur les lacs d’Ayous. Poursuivez jusqu’au sommet et faites une pause photo. La vue sur le lac Gentau est l’une des plus belles récompenses de votre randonnée. Suivre le petit ruisseau qui emmène au lac Bersau situé à 2078 mètres alt, sa profondeur maximale est de 30 mètres. Dans ce paysage aux neiges éternelles ou presque, vous serez à nouveau sur un autre univers. Le calme et le silence vous accompagnent en pleine nature très préservée. Une baignade sur une plage de galet exposée en plein sud, une eau limpide et presque glacée en mois d’Août. Une pause déjeuner dans cet endroit vous donne des sensations particulièrement fortes et charge l’esprit avec des souvenirs beaux à jamais.

La suite de la randonnée s’effectue par la gauche sur le sentier vers le sud, et là on découvre le pic Castérau, à 2227 mètres d’altitude. Une belle vue sur les montagnes et le chemin de retour. Nous voyons le lac Castérau, la forêt noir et le décor montagneux lointain. Le lac Castérau est situé à 1943 mètres d’altitude, plus tranquille que les précédents grands lacs, ils offre tout de même une vue imposante sur le pic des Moines. Un petit détour pour rejoindre le lac du Paradis situé à 1976 mètres d’altitude qui est hors piste du sentier, l’endroit est parfait pour faire une pause. Le sentier est long, la descente est vive et mérite attention, elle n’est pas ennuyeuse, pour autant qu’on apprécie la nature, les fleurs sauvages, les animaux de montagnes, les Lézards, les oiseaux sont là et  nous accompagne jusqu’à la gave de Bious. Au bord de la gave, nous avons déposé nos sacs à dos, ôté nos chaussures pour s’assoir et trempés les pieds  dans l’eau, allumé une cigarette et prendre une pause photo. Puis nous empruntons le pont de Bious, après quelques dizaines minutes de marches on tombe à pic sur un évènement ponctuel qu’allait se produire devant la caméra Gopro-Hero-9. Il s’agit d’un jeune homme sportif d’une trentaine d’année, équipé d’une tenue de spéléo, qui a commencé par jeter un premier sac à dos, puis un deuxième et après il s’apprête à faire un saut de plusieurs mètres dans la crevasse à partir du rocher. Le sportif lance un crie de joie et on l’entend enfin atterrir au fond de la crevasse dans la gave de Bious, c’est un endroit encaissé par la gave. J’ai tenté le rencontrer, le saluer et échanger avec lui. Mais dommage pour nous, le chemin est escarpé pour descendre la pente.  Je crois qu’ils étés deux aventuriers sportifs et amateurs de la nature. La suite de notre parcours est sans difficultés, sauf une pluie orageuse qui nous a obligée de sortir les abris et protéger les sacs à dos jusqu’au lac de Bious Artigues. De retour au point de départ nous avons fait un break au relais pour manger une friandise, une madeleine,  boire un café et une boisson pour se désaltérer. De là, nous avons fait un détour, question de déposer nos déchets dans le dépôt de tris. Nous avons fini de trouver un endroit pour y passer une autre nuit en bivouac, au bord du lac de Bious-Artigues. C’est un endroit calme très fréquenté par les randonneurs, et les amateurs de la nature entres copains, près d’un feu à la belle étoile.

Une fois à l’endroit, content de se reposer autour d’un café, prendre un verre d’apéro et aller se dégourdir les jambes dans l’eau fraiche du lac. Là encore, on avait eu un temps humide en fin de journée. Nous avons sorti la casserole et préparé la soupe du soir. Je me rends compte maintenant que les repas déshydratés et lyophilisés conçues pour les randonnées ont des qualités nutritionnelles équivalente ou presque aux repas traditionnels, on peut transporter plus de 10 plats différents, plusieurs fruits secs purs au choix et les oléagineux. Là, au moins, le poids du sac à dos est divisé par 3 voir même plus et avec un temps de préparation record. Ce soir là, nous avons mangé une soupe riche et consistante préparé à base de poivron, de tomate, de pâtes en grains, d’oignons,  et épicée sur mesure. Après cette courte soirée, on a dormi au calme, jusqu’au réveil par les cloches du troupeau de vache qui broutaient de l’herbe autour de la tente. Le lendemain matin au réveil, il faut se lever, prendre une toilette à l’eau fraiche du lac. Il est environ 7 heure du matin, un café avec un regard souvenir sur l’endroit, l’environnement et l’horizon avec une prise de photos. Une nouvelle fois ranger son sac à dos ramasser ses déchets pour un endroit propre au naturel. Voilà de retour avec des images merveilleuses en mémoire.

Avant de clôturer cette aventure inoubliable riche en émotion, une pause matinale au relais du Bious, nous avons eu un petit déjeuner campagnard, tout est artisanal ou presque, de la confiture, à la poire, aux myrtilles, beurre de baratte, café et jus de fruits, pain grillé à volonté. Le gérant et les serveurs étant des personnes sympathiques,  le maréchale ferrant était sur place pour les chevaux de rando, un moment  chaleureux, sur la terrasse, en plein forêt, au bord du lac et au pied sa majesté  » pic du midi d’Ossau ».

Après avoir quitté le relais, nous poursuivons notre parcours par la descente vers le parking du bas, situé au bord de la gave de Bious, où notre véhicule était garé depuis deux nuits. Nous avons repris la route jusqu’à la Laruns, une petite ville magnifique où nous avons visité le marché, acheté quelques souvenirs, cartes postales, s’approvisionner en quelques produits locaux, prendre un expresso en terrasse au Bar de la rue principale et prendre une ou deux photos souvenirs. 

De là, nous avons pris la route départementale D918 pour passer par Aren Marssous et plus loin, la ville de  Argelès Gazost, petite ville située dans l’ouest du département des Hautes-Pyrénées. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le gave de Pau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable et des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique. La ville est connue par son histoire lié au   thermalisme et  les sources chaudes. Victor Hugo et Emile Zola venaient passer leurs séjours dans cet endroit.  Nous nous sommes déplacés pour découvrir le site de Cauterets et le pont d’Espagne. Prévoir deux jours de randonnées pour un parcours en boucle, de Cauterets, passant par le lac de Gaube et une nuit en bivouac au massif de Vignemale, situé à 15 km environ à pied. Le sommet du massif est à 3000 Malt, l’ascension compte un dénivelé positif de 1000 mètre pour 7 heures de marche, en empruntant  les grandes vallées.

Une fois à Cauterets, une petite balade en ville pour aller voir le Pont d’Espagne à quelques kilomètres plus loins, c’est lieu de prédilection des écrivains et les artistes. Endroit prisé par les touristes et les romantiques des vallées et les hautes montagnes. Le site est agréable à voir. Les cascades, les chutes d’eau avec une puissance assourdissante résonnant et font écho dans toutes les oreilles et les alentours en forêt, c’est un endroit paradisiaque.

Après cette courte balade, nous avons repris la route départementale D921 pour se rendre à Luz Saint Sauveur. Il est 18 heure, nous descendont pour 2 nuits à l’hôtel Tourmalet de Londres. Situé au centre ville, sur le pont, au bord du Bastan qui est un torrent traversant la ville et prend sa source depuis l’Espagne. On entend l’écoulement de l’eau qui résonne dû au débit conséquent de la rivière. Cet hôtel fait référence au Tourmalet qui est le point central du domaine skiable du « Grand Tourmalet Barèges la Mongie ». Un endroit où les cyclistes du monde entier viennent faire leurs épreuves pour un challenge d’envergure.  Tourmalet est la capitale mondiale du cyclisme. Toutes les figures de Tour de France y sont défilées pour effectuer près de 80 reprises. Tourmalet est connu pour un autre record, ceux des meilleurs grimpeurs. Également, les touristes, les randonneurs et les sportif des hautes montagnes. 

Après avoir déposé nos bagages, une courte pause avant d’aller découvrir les alentours. on retrouve le même style pyrénéen. Une petite ville à 1000 habitants, elle est la capital du pays Toy, qui veut dire petit en Gascon. Les petites ruelles de Luz et sa maison du parc dans un jardin décoré à la pierre local. et fontaine avec de l’eau en abondance à proximité de l’Yse, le torrent descendant de la montagne. Les allées en pavé de la roche entre les bâtis bien entretenus. Des animations culturelles périodiques sont organisées, notamment le théâtre de la verdure et le festival de Jazz.

De retour à l’hôtel vers 21 heure, on a pu avoir une table en terrasse sous laide d’une serveuse sympathique et nous avons commander deux menus. Il a fallu prévoir la réservation en avance, du fait qu’il avait trop de monde ce soir là, nous disait-elle. L’endroit et vite saturé et ce n’est pas du tout reposant. Après cette soirée, il est 23 heure passé, nous nous sommes rendus à l’étage pour se reposer et se coucher. Le lendemain matin après avoir déjeuné, une tasse de café  une  cigarette sur la terrasse de l’hôtel au bord de la rivière « Le Bastan ». Le gérant d’hôtel passant, profite de venir dire Bonjour et échanger avec nous. Très bel hôtel mais qui mériterait d’être mieux entretenu. son état ne répond pas aux règles  hôtelière pour un 3 étoiles. La restauration reste moyenne et le petit déjeuner aussi. C’est un grand dommage pour cet Hôtel emblématique qui mérite beaucoup mieux. Grande salle de petit déjeuner, Mais là encore le désordre dès la première heure, L’accès aux ascenseurs et aux escaliers par le parking encombré par des objets, matelas, meubles qui traînent, bouteilles en verre vides à la vue. Les Odeurs de cuissons issus du restaurant au Rez-de chaussé dans la chambre à l’étage, même fenêtre fermée. Nous avons diné que le premier soir, mais ça reste chère pour ce qu’il y a dans l’assiette. Les points positifs de cet hôtel est son emplacement de proximité malgré le bruit de  la terrasse le soir. La chambre est spacieuse. Le parking privé sur place, c’est très pratique. Pour le reste de notre séjour nous avons choisi d’autres restaurants,  dans une ambiance différente, avec l’échange et une qualité du service meilleure. Le lendemain, dans une journée calme, soleil éclatant, idéale pour la marche rando et découverte, une petite matinée au lave linge, une balade sur les alentours, j’ai acheté une carte IGN de rando pour la suite du parcours, concernant le parc naturel et Réserve Nationale de la Néouvielle. Une pause café en terrasse du centre ville et réservé une table au restaurant pour déjeuner. Il est 14 heures passé, nous nous sommes rendus au restaurant «Rest’ô le marmiton», situé en ville à quelques minutes de l’hôtel.
 Un accueil courtois et dynamique par une jeune serveuse, qui est venue du centre de la France pour un job d’été à la ville de Luz. Une pause apéro enrichi sur la terrasse avec le personnel, on a demandé les cartes de menus du jour le déjeuner.
 Avec sympathie, un serveur nous a abordé et prendre les commandes, avec lequel on a établi un dialogue, échangé, d’où la question de base, est ce que vous passez de bonnes vacances dans la région ?, il y a beaucoup d’endroits intéressants a voir, la découverte, la randonnée, l’histoire, et l’aventure. On lui a fait des compliments de nous avoir renseigné. Malheureusement on aura jamais assez de temps de faire tout ça et notre parcours arrive à terme. J’ai lui fait part de notre parcours et les points d’où les villes, les villages et les endroits qu’on a visité. Réciproquement, nous disait-il, qui’l n’est pas natif pyrénéen, il venait de la région de la Loire Atlantique, pas loin de la Rochelle.  Le serveur s’est montré pas d’accord quand je lui disait, nous sommes passés par Gien, Confolens et Mont-de-Marsan, qui sont des petites villes de la Loire. Confolens est une ville de la Charente, de la région Nouvelle-Aquitaine, Monsieur «c’est de là ba que je viens, me disait-il» Après cet échange chaleureux nous avons étés servis dans une bonne ambiance et le repas était excellent. C’est parfait, pour cette journée. Nous avons décidé de se rendre au cirque de Gavarnie. Le site est à 18 km environ de Luz Saint Sauveur, une fois arrivé à Gavarnie, nous nous sommes  rendu à l’office de tourisme pour avoir les dernières informations météorologique sur le site. Il nous a été annoncé, que nous devrions renoncer, car des tempêtes violentes pourraient se produire instantanément, vous risqueriez d’être coincés en altitude. Malheureusement, ce n’est pas notre jour de chance cette fois et il faut reporter cette occasion pour les années à venir. Compte tenue du conseil sécuritaire proposé par l’office de tourisme, une courte promenade improvisée dans les alentours et les paysages forestiers montagneux. Vue que c’est notre dernier jour de vacances dans la région, en chemin de  retour vers Luz, on a continué sur la route qui mène à Barèges, afin de se repérer pour les prochaines vacances et programmé quelques jours de randonnées, voir éventuellement le Pic du midi de Bigorre, le  parc naturel et Réserve Nationale de la Néouvielle. C’est un site a paysage de montagnes accidentées avec une forêt à pins. Faire le tour des lacs aux eaux claires, lac de Madamétre, lac d’Aubert, lac d’Omar, lac Orédon, lac de l’Oule, en empruntant les sentiers de randonnée, là où vivent des marmottes siffleuses. ……..

Nous sommes le 6 Août de l’année 2022, de retour à l’appartement de l’hôtel nous avons préparer nos bagages pour le lendemain. Le chemin de retour compte 950 milles km, sans difficulté mal-grès quelques contraintes de la route et particulièrement, la lassitude. Passant par Lourde, Tarbes, Brive la Gaillarde, avec une nuit étape à Limoge. La suite de retour le lendemain avec une pause déjeuner à Vierzon, argumenté par une visite au centre ville et au bord du fleuve, « Le Cher » et découvrir l’espace  Jacques Brel qui a longuement investi dans cette région,  Vers 14 heures on a repris la route départementale, passant par la ville de Montargis, Sens, avant d’arriver à Saint André Les Vergers vers 15 heures. Cc & Yc nous attendait pour un repas d’été qui ont improvisé en terrasse, c’était sympathique et chaleureux. Voilà la boucle est fermé. Content de retourner à la maison et de retrouver tout le monde en forme et le petit chien «Noki» également. C’est merveilleux, d’avoir réaliser cette nouvelle expérience avec des souvenirs inoubliables.

Point de vue Rando & Découverte

Notre passage dans le parc national des Pyrénées, découvrant les montagnes Atlantiques séduisantes par leurs propretés et ses lieux préservés. Visiteurs, vacanciers, randonneurs, ou simples promeneurs sont tellement vigilants que les sentiers, les endroits touristiques, les pistes de randonnées, les vallées, les cours d’eau, les lacs et les hautes montagnes, ainsi que les zones pastorales sont naturellement protégées. De ce fait, nous n’avons pas eu l’occasion de voir le moindre papier abandonné. C’est bien que cette conscience soit installée dans les mentalités, la géologie particulière des Pyrénées, le respect de sa faune et sa flore et ses sites naturels.